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Document de référence

Partager la nourriture

Résultats d’apprentissage

Aidez les élèves à comprendre l’importance du partage de la nourriture. C’est ainsi que les Inuits sauvaient les autres, en partageant la nourriture. C’est pourquoi nous sommes ici aujourd’hui.


Code de conduite en société

Cette leçon, ainsi que 5 autres, font partie d’un code de conduite en société Inuit.

Festin communautaire à Inukjuak
Photo par Charlie Nowkawalk

Comment enseigner cette habileté

  1. Les élèves peuvent lire les histoires des Aînés ou l’enseignant peut les lire pour eux et leur expliquer.
  2. Après la lecture de ces histoires, les élèves peuvent discuter des différences entre le partage de la nourriture des temps passés et celle d’aujourd’hui.
  3. Parlez-leur de la façon dont les Inuits de l’époque pensaient que le partage de la nourriture était très important. Servez-vous de vos connaissances et de votre expérience pour faciliter la compréhension.
  4. Faites en sorte que les élèves fassent preuve de respect en partageant la nourriture et en suivant ce que les Aînés ont dit. Les Aînés nous font part de leur expérience, ils ont eu une longue vie et ce qu’ils disent est vrai.
  5. Lorsque les élèves ont fini de lire ou d’écouter les histoires, ils peuvent commencer à écrire leurs propres réflexions ou leur compréhension de la manière dont les Inuits avaient l’habitude de partager la nourriture.
  6. Ils pourraient aussi visiter des personnes âgées ou inviter un Aîné à venir en classe pour parler du partage de la nourriture.

Conseils traditionnels inuits

ᑖᒃᑯᐊ ᐃᓄᒻᒪᕇᑦ ᐅᖃᐅᑎᔭᐅᒍᑎᒋᖃᑦᑕᓯᒪᔭᖏᑦ ᓂᕿᒥᒃ ᐊᕕᖃᑎᒌᑦᓯᐊᖃᔭᐅᖃᑦᑕᓯᒪᔪᑦ ᑌᒣᑦᑐᒥᒃ ᐱᐅᓯᖃᕐᑎᑕᐅᑦᓱᑎᒃ. ᑌᒣᑦᑑᓱᑎᒃ ᐊᓐᓇᐅᒪᒍᓐᓇᑐᕕᓃᑦ, ᐆᒪᔪᓄᑦ ᑭᓯᐊᓂ ᐊᓐᓇᒍᑎᖃᕐᓱᑎᒃ, ᐊᕕᖃᑎᒌᑦᓯᐊᕋᒥᓪᓗ ᐃᓅᖃᑎᒥᓂᒃ ᐊᓐᓇᑎᑦᓯᓱᑎᒃ. ᑌᒫᒃ ᐱᐅᓯᓕᕕᓃᑦ.

On disait aux Aînés de toujours partager leur nourriture avec les autres, c’était obligatoire. Ainsi, ils pourraient survivre. Ils pourraient survivre en partageant les animaux. C’était la façon de faire les choses.

Partager la nourriture

  • ᐃᓄᐃᑦ ᓯᕗᓪᓕᕗᑦ ᓂᕿᒥᒃ ᐊᕕᖃᑎᒌᓐᓂᒥᒃ ᐱᐅᓯᖃᕐᑐᓴᔭᑐᙯᑦ, ᓂᕿᒥᒃ ᑭᓯᐊᓂ ᐃᓅᒍᑎᖃᕈᓐᓇᓚᐅᕋᒥᒃ.

    Pour nos ancêtres, le partage de la nourriture était une tradition parce que la vie était articulée autour de la nourriture.
  • ᐃᓅᔪᒍᑦ ᐊᕕᖃᑎᖃᓐᓂᒥᒃ ᐱᐅᓯᖃᕐᑐᓴᔭᑐᖃᐅᔪᒍᑦ. ᓯᕗᓕᕗᑦ ᐊᕕᖃᑎᒌᓐᓂᒥᒃ ᐱᐅᓯᖃᕐᑐᑐᖃᐅᓯᒪᔪᑦ ᐃᓅᖃᑎᒥᓂᒃ ᐱᑎᑦᓯᓂᕐᒥᒃ, ᓱᓇᐅᒐᓗᐊᕐᐸᑦ, ᓂᕿᐅᑉᐸᓗ. ᐁᑦᑑᑎᖃᑐᐃᓐᓇᓂᕐᒥᒃ ᐊᑭᖃᕐᑎᓇᒍ ᐱᐅᓯᓕᑐᖃᐅᔪᑦ. ᐱᐅᓯᕆᔭᐅᑦᓱᓂ   ᐃᑲᔪᖃᑎᒌᒍᑎᒋᑦᓱᓂᐅᓪᓗ, ᐊᓕᐊᒋᑦᓱᒍᓗ, ᐃᓅᓯᑦᓯᐊᒍᑦᓱᓂᓗ. ᐃᓅᑉ ᐃᓱᕐᕆᓯᕈᓐᓇᓂᖓᓄᑦ ᐃᓕᖓᔪᖅ.

    Pour les Inuits, le partage de la nourriture est une tradition. Nos ancêtres partageaient, en donnant aux autres, que ce soit de la nourriture ou toute autre chose. Ils donnaient sans attendre rien en retour. Aider les autres était leur fierté et leur façon de vivre. Les gens font cela pour avoir la paix.
  • ᓯᕗᓪᓕᕗᑦ ᐊᕐᓱᕈᓐᓇᑐᒦᑦᑐᐊᓘᒐᓗᐊᕋᒥᒃ, ᓂᕿᓗ ᒥᑭᔪᐊᐱᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᐊᕕᑦᓯᐊᑕᐅᕙᑦᑐᕕᓂᖅ, ᐱᔪᑑᔪᖃᕆᐊᖃᕐᑎᓇᒍ ᐃᓅᓯᖃᕐᑐᕕᓃᑦ. ᐆᒪᔪᕆᐅᕐᑐᖅ   ᐱᓪᓚᕆᐅᑎᑕᐅᓐᓂᒪᑦ ᐱᔭᕆᐅᕈᑎᖓ ᐊᕕᖃᑎᒌᑦᓯᐊᕆᐊᖃᕐᓂᒧᑦ ᑐᑭᖃᕐᑎᑕᐅᔪᕕᓂᖅ. ᐊᔪᕐᓴᓕᑐᐊᕋᒥᑦ ᓱᒐᓗᑦᓱᑎᒃ ᓱᓇᑐᐃᓐᓇᒥᒃ ᐊᕕᖃᑎᖃᑦᓯᐊᐸᑦᑐᕕᓃᑦ, ᐃᒻᒥᓂᑐᐃᓐᓇᖅ ᐱᒍᒪᓂᑐᐃᓐᓇᒥᓂᒃ ᐃᓱᒪᒐᑎᒃ. ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐱᐊᕋᐅᓂᖓᓂ ᐊᕕᖃᑎᖃᕆᐊᖃᓐᓂᒥᒃ ᖃᐅᔨᒪᑎᑕᐅᕙᑦᓱᑎᒃ ᐊᕕᖃᑎᖃᑉᐸᓱᑎᒃ. ᐊᓕᐊᑦᓱᑎᓪᓗ ᐊᕕᖃᑎᖃᕆᐊᒥᒃ ᐃᓄᐃᑦ ᐱᐅᓯᓕᑦᓴᔦᑦ.

    Même lorsque les temps étaient durs pour nos ancêtres, et que la nourriture était rare, ils la partageaient. Il était obligatoire de partager. Il était important lorsqu’une personne capturait son premier animal de le partager avec tout le monde. Particulièrement lorsqu’ils étaient dans le besoin, ils partageaient tout ce qu’ils avaient, sans penser à eux-mêmes. Lorsque les enfants étaient tout petits, on leur apprenait à partager. Et c’est pourquoi les Inuits adorent partager.
  • ᐃᓄᐃᑦ ᐃᑲᔪᕐᑎᒌᑉᐸᓚᐅᕐᑐᑦ ᐅᓪᓗᑕᒫᑦ ᓂᕿᑎᒍᑦ. ᐊᖑᑏᑦ ᐆᒪᔪᑐᐊᕋᒥᒃ ᐊᕕᐅᕐᖃᓯᐊᕐᓱᒋᑦ ᓂᖏᕐᑎᓯᕙᓚᐅᕐᑐᑦ ᐱᔪᑑᓂᐅᔭᕋᑎᒃ. ᓄᓇᕐᖃᑎᒋᖕᖏᑕᕋᓗᐊᒥᓂᒃ ᓂᕿᑎᒍᑦ ᐸᔪᑉᐸᓚᐅᕐᑐᑦ, ᖃᓪᓗᓂᑦᔨᐊᑐᕕᓂᒐᓭᑦ ᓂᐅᕕᕐᕕᑕᓕᒧᑦ ᐊᕕᖃᑎᖃᑉᐸᓚᐅᕐᑐᑦ, ᓴᓇᐅᒐᕐᒥᓘᓐᓃᑦ (ᓂᕿᑦᓴᔭᒥᓪᓘᓃᑦ), ᐳᓐᓂᒥᓪᓘᓃᑦ, ᐳᑦᔪᓯᐅᑎᒥᓪᓘᓃᑦ (ᐳᑦᔪᓴᐅᑎᒥᓪᓘᓃᑦ), ᓱᓇᑐᐃᓐᓇᓂᓪᓘᓃᑦ ᐁᑦᑐᐃᓱᑎᒃ ᐊᑭᖃᖕᖏᑐᓂᒃ.

    Les Inuits avaient l’habitude de travailler ensemble chaque jour pour de la nourriture. Lorsque des hommes capturaient un animal, ils avaient l’habitude de le dépecer correctement pour en donner une partie à tout le monde, sans le garder au complet pour eux-mêmes. Ils le partageaient même avec des gens qui ne faisaient pas partie de leur camp. Même ceux qui allaient aux postes de traite partageaient ce qu’ils y avaient acheté, par exemple la farine, la graisse, la poudre à pâte, sans rien exiger en retour.
  • ᐃᓄᐃᑦ ᓂᕿᒥᒃ ᐊᕕᑦᓯᐊᓲᒍᓕᕐᓱᑎᒃ ᐃᑲᔪᕐᑎᒌᓪᓗᑐᕈᑕᐅᒻᒪᑦ ᐃᑲᔪᕐᑕᐅᒍᑎᒋᓲᕆᓕᕋᒃᑯ    ᐃᓄᓐᓄᑦ, ᐃᒫᒃ ᐃᓚᖃᕐᓱᓂ ᐊᒥᓱᓂᒃ ᐃᑲᔪᖁᑎᓪᓚᕆᐅᒻᒪᑦ ᖃᐅᔨᒪᔪᖓ.

    Pour nos ancêtres, le partage de la nourriture était une tradition parce que la vie était articulée autour de la nourriture.
  • ᑖᕙᓂ ᓄᓇᖏᕐᓂᕋᕐᒦᑐᐊᓘᕙᓚᐅᕋᑦᑕ ᐊᒥᓱᐃᕌᓘᑦᓱᑕ, ᐊᒥᓲᑦᔮᓘᕙᓚᐅᕐᒪᑦ ᓇᑦᓯᖅ ᐊᑕᐅᓯᖅ ᑳᑦᑐᓄᑦ. ᓇᑦᓯᒧᑦ ᑭᓯᐊᓂ ᐆᒪᒐᓱᐊᕐᐸᓚᐅᕋᑦᑕ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᒍᑦᓱᑕ, ᑕᓴᒪᓂ ᕿᑭᑦᑕᓚᑳᓂᒃ ᐴᑲᕐᑕᖏᑦᑐᒦᒐᓱᐊᕐᐸᓚᐅᕐᒥᒐᑦᑕᓘᓐᓃᑦ. ᐊᐅᓚᔨᒐᒪ ᓇᑦᓯᑕᐅᔪᐊᐱᒃ   ᒥᑭᔪᐊᐱᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᓈᒍᑕᐅᕙᓚᐅᕐᒪᑦ. ᐊᓕᐊᑉᐳᖓ ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐊᔪᕐᓴᓇᖕᖏᑐᒧᑦ ᑎᑭᑎᑕᐅᓯᒪᓕᕋᑕᕐᒥᒐᑦᑕ ᑌᒣᑦᑐᑰᕐᐸᓚᐅᕋᓗᐊᕐᓱᑕ. ᑌᒫᒃ ᐊᓕᐊᑦᑐᓴᐅᕗᒍᑦ ᐃᓄᒻᒪᕆᐅᓂᕐᓴᐅᔪᒍᑦ. ᑕᒪᒃᑯᐊᓕ ᓄᑖᒍᓕᕐᑐᐃᑦ ᑲᑉᐱᐊᓇᕐᑐᒥᒃ ᖃᐅᔨᓯᒪᖕᖏᑐᑦ. ᐃᓄᑐᖃᐅᓂᕐᓴᑎᒍᓪᓕ ᐃᓱᒪᔪᒍᑦ ᐊᔪᕐᓇᓂᕆᕙᓚᐅᕐᑕᖓᓂᒃ ᐆᒪᔪᐃᑦ.

    Nous étions très nombreux sur la toundra. De nombreuses personnes affamées pouvaient ainsi partager un phoque. Nous survivions uniquement grâce aux phoques qui vivaient sur la côte. Là-bas sur les îles, où les vagues n’étaient pas énormes. Je me souviens que même un petit phoque faisait l’affaire. Je suis heureux que nous soyons arrivés à ce jour où nous ne manquons pas de nourriture, comme nous l’avons vécu. Nous, les Aînés, nous sommes très reconnaissants. Les jeunes générations n’ont pas connu ces époques terrifiantes. Nous, les Aînés, nous nous souvenons à quel point les animaux étaient rares.
  • ᒥᑭᔪᐊᐱᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᓂᕿ ᐁᑦᑑᑎᓯᕙᓚᐅᕐᑐᑦ. ᐃᖃᓗᒃ ᐊᑕᐅᓯᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᐃᒐᑦᓱᒍ ᐸᔫᑎᐅᕙᓚᐅᕐᑐᖅ, ᐊᒡᒍᑕᐅᓯᕙᓚᐅᕐᑐᖅ. ᐃᓪᓘᑉ ᐃᓗᐊᓃᑦᑐᓕᒫᑦ ᐊᕕᑦᑎᑕᐅᒻᒥᓱᑎᒃ ᓂᕿᒥᒃ, ᐊᖏᔫᖕᖏᑲᓗᐊᕐᒪᑦ ᓂᕿ.

    Même s’il n’y avait pas beaucoup de nourriture, les Inuits la partageaient. Ils faisaient cuire un poisson et tout le monde en recevait une partie. Tout le monde dans la maison partageait ce qu’il y avait, même si cela n’était pas beaucoup.
  • ᒥᑭᔪᐊᐱᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᓂᕿ ᐁᑦᑑᑎᓯᕙᓚᐅᕐᑐᑦ. ᐃᖃᓗᒃ ᐊᑕᐅᓯᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᐃᒐᑦᓱᒍ ᐸᔫᑎᐅᕙᓚᐅᕐᑐᖅ, ᐊᒡᒍᑕᐅᓯᕙᓚᐅᕐᑐᖅ. ᐃᓪᓘᑉ ᐃᓗᐊᓃᑦᑐᓕᒫᑦ ᐊᕕᑦᑎᑕᐅᒻᒥᓱᑎᒃ ᓂᕿᒥᒃ, ᐊᖏᔫᖕᖏᑲᓗᐊᕐᒪᑦ ᓂᕿ.

    Even though the food was small, they used to share. One fish was cooked and they shared portions with others. Everyone in a house shared what they got, even if it was small.
  • ᓯᕗᓕᕗᑦ ᐊᕐᓱᕈᓐᓇᑐᒦᒐᓗᐊᕋᒥᒃ ᓂᕿᒐᓚᒻᒥᒃ ᐊᕕᑉᐸᓚᐅᕐᑐᑦ ᐱᔪᑑᔪᖃᕆᐊᖃᕐᑎᓇᒍ. ᐱᐊᕋᐅᖏᓐᓇᓱᑎᒃ ᐊᕕᖃᑎᖃᕆᐅᕐᓴᑎᑕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ ᐃᓅᑦᔪᓯᖓᑕ ᐃᓚᒋᒻᒪᐅᒃ.

    Nos ancêtres avaient l’habitude de partager un peu de nourriture, même lorsque les temps étaient difficiles, sans penser uniquement à eux-mêmes. On apprenait aux enfants à partager lorsqu’ils étaient tout petits parce que cela faisait partie de leur culture.
  • ᐊᕿᒡᒋᖅ ᐊᑕᐅᓯᐅᒐᓗᐊᕐᒪᑦ ᐊᕕᑕᐅᒍᓐᓇᑐᕕᓂᖅ ᓄᓇᓕᓐᓄᑦ. ᑐᓴᐅᒪᓇᕐᒥᔪᖅ ᐊᕐᓇᖅ ᓂᕿᒥᒃ ᐊᒡᒍᐃᓱᓂ ᓂᕆᔭᑦᓴᓂᒃ. ᐅᓗᒻᒥᓂᒃ ᐊᐅᒥᑎᕐᓯᒪᔪᒥᒃ ᐊᓗᑦᑐᑐᐃᓐᓇᓱᓂ ᓈᒻᒪᓯᔪᕕᓂᕐᒥᒃ, ᓂᕿᑕᖓᓂᓪᓘᓃᑦ ᓂᕆᖕᖏᑲᓗᐊᕋᒥ. ᑌᒫᒃ ᐊᕕᖃᑎᒌᓐᓂᖅ ᐱᓪᓚᕆᐅᓂᖃᒻᒪᑦ ᐃᓄᑦᑎᒍᑦ.

    Un lagopède pouvait être partagé avec d’autres communautés. J’ai entendu parler d’une femme qui pouvait découper la viande et la partager pour que les gens puissent en manger. Elle était rassasiée simplement en léchant le sang sur son uluk, sans avoir à prendre une seule bouchée de viande. Cela démontre toute l’importance du partage pour les Inuits.
  • ᐃᓄᒃ ᐃᓄᑦᓯᐊᒍᒐᓗᐊᕋᒥ ᓂᕿᒧᑦ ᐊᓕᐊᑦᓴᑫᖕᖏᑐᐊᕋᒥ ᐊᓕᐊᓇᖕᖏᓗᑐᕐᐳᖅ. ᓂᕿᒥᒃ ᑲᒪᑦᓯᐊᑐᐊᕋᒥ ᐃᓚᒋᔭᐅᓪᓚᕆᑦᑐᖅ, ᖃᐅᔨᒪᓪᓗᑐᕐᑕᕋ ᑕᒪᓐᓇ !

    Même si une personne est gentille, mais qu’elle ne partage pas la nourriture et ne rend pas les autres heureux, ce n’est pas une bonne chose. Lorsqu’une personne prenait soin de la nourriture, elle faisait partie de la famille, et cela, j’en suis certain!
  • ᓂᕿᒥᒃ ᒥᓐᓂᖃᔭᖕᖏᑐᐃᑦ ᐱᒍᐊᕐᓂᓴᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ, ᐊᖑᓱᕐᓂᓴᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ, ᑭᖑᕝᕙᕈᑦᔭᐅᒍᐊᕐᓂᓭᑦ. ᓄᖑᒍᑦᔭᐅᒍᐊᕐᓂᓭᑦ ᒥᓐᓂᑑᑦ. ᐃᓅᓯᕐᒦᒪᑦ ᒥᓐᓂᓂᖅ ᐊᕕᖁᔭᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ. ᒥᓐᓂᑐᐃᑦ ᓄᐃᑕᑎᑦᓯᖏᒃᑲᓗᐊᕋᒥᒃ ᑌᒣᖁᔭᐅᕙᓚᐅᖕᖏᑐᑦ,    ᑮᓇᐅᔭᒐᓚᒃ. ᓱᓇᑐᐃᓐᓇᓕᒫᖅ ᒥᓐᓂᒋᔭᐅᒋᐊᖃᖕᖏᑐᖅ. ᒥᓐᓂᒍᑎᔭᕕᓂᖅ ᐊᑭᐅᕆᐊᖃᖕᖏᑐᖅ, ᐃᕐᖃᐅᒪᒋᔭᐅᒋᐊᖃᖕᖏᑐᖅ. ᑌᒫᑦᓭᓇᖅ ᐱᑎᑐᐃᓐᓇᓗᒍ ᒥᓐᓂᖁᑦᔨᔭᕈᓐᓀᓗᒍ. ᐊᔪᕐᓴᓗᐊᖕᖑᐊᓂᒃᑯᑦ ᐱᓕᕋᒥ ᒥᓐᓂᓕᓲᑦ. 

    Ceux qui n’étaient pas avares, attrapaient les animaux plus facilement, et les attrapaient les uns après les autres. Ceux qui ne partageaient pas avaient plus de difficulté à attraper des animaux. L’égoïsme fait partie de la vie, c’est pourquoi on leur disait de partager. On disait aux égoïstes de ne pas venir, de ne pas se montrer. On nous disait de ne pas être égoïstes, même lorsqu’il était question d’argent. On disait aux gens de ne pas se venger même si une personne ne partageait pas et ils ne devaient même pas y penser. Il suffisait de partager avec elle, sans même y penser. Lorsque les gens connaissent la pauvreté, ils deviennent avares.
  • ᓂᕿ ᒥᓐᓂᒋᔭᐅᕙᓚᐅᖕᖏᑐᖅ. ᐊᕕᑦᓯᐊᑕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᖅ ᓂᕿ ᐊᒡᒍᑕᐅᑦᓱᓂ ᐸᔪᒍᑕᐅᒻᒪᑦ. ᐃᓛᓐᓂ ᐃᓱᒪᓇᕐᐸᓚᐅᕐᑐᖅ, “ᑕᒐᓕ ᓂᕿᒋᑐᐃᓐᓇᕈᑦᑎᒍ ᐊᑯᓂ ᑳᓂᐊᖏᓇᑦᑕ.” ᑭᓯᐊᓂ    ᐅᖃᐅᑎᔭᐅᑦᓯᐊᐸᓚᐅᕐᑐᒍᑦ ᐁᑦᑑᑎᒋᓗᒍ, ᐊᕕᑦᓯᐊᓗᒍ ᐅᑎᓛᕐᒥᒪᑦ ᐁᑦᑑᑎᐅᒐᓗᐊᕈᓂ.   ᓂᕿᒥᒃ ᐃᒃᑯᓄᖓ ᐸᔪᑦᑕᐅᓂᖕᖏᑲᓗᐊᕈᕕᑦ ! ᐸᔪᑉᐸᑐᓂᒃ ᑌᒫᑦᓭᓇᖅ ᐊᑦᔨᖓᓂᒃ    ᐸᔪᒻᒥᓗᑎᑦ. ᐊᓈᓇᑦᓯᐊᑯᑦ, ᐊᑖᑕᑦᓯᐊᑯᑦ ᓂᕿᒥ ᑐᓂᓯᕙᓐᓂᒪᑕ, ᑖᒃᑯᐊ ᑭᖑᕚᖏᑦ ᑐᓂᔭᐅᒍᓐᓇᒥᔪᑦ ᓂᕿᒥᒃ.

    Les gens ne gardaient pas la nourriture pour eux-mêmes. Ils la partageaient équitablement. Parfois quelqu’un pensait… « Si seulement nous pouvions la garder pour nous pour éviter d’avoir faim. » On nous disait cependant toujours de dépecer la viande équitablement et de la partager, puisque cela nous serait sûrement remis un jour, si nous la partagions. Même si les gens avec qui vous la partagiez ne vous donnaient jamais rien! Partager la même quantité qu’on vous avait donnée. Les  grands-mères et les grands-pères avaient l’habitude de partager la nourriture, de sorte que leurs descendants recevraient aussi de la nourriture.     
  • ᐃᒻᒥᓂᕿᓗᑕ ᐆᒪᔪᕐᓯᐅᕆᐊᕋᓱᖁᔭᐅᕙᓚᐅᕐᑐᒍᑦ, “ᓂᕿᒎᖅ ᓄᖑᒍᐊᕐᑑᒪᑦ”, ᒥᓐᓂᐸᖁᔭᐅᒐᑕᓗ. “ᐅᖓᑖᓄᒎᖅ ᐱᑎᑕᐅᑐᐃᓐᓇᐸᓐᓂᐊᕋᑦᑕ!”

    On nous disait de tenter d’attraper des animaux par nous-mêmes « parce que la nourriture c’est pas éternel… », et on nous disait aussi qu’il ne fallait pas être avare avec la nourriture. « Nous devions recevoir plus que ce que nous donnions. »
  • ᓄᓇᓕᓕᒫᑦ ᐊᕕᑉᐸᓚᐅᕐᒥᔪᑦ ᐸᔪᑦᑕᐅᓱᑎᒃ ᐆᒪᔪᕐᑐᕕᓂᕐᒧᑦ. ᐃᓄᐃᑦ ᓄᓇᕐᖃᑎᒌᑉᐸᓚᐅᑦᔭᖏᒻᒪᑕ ᒥᓇᕐᑕᐅᕙᓚᐅᕐᒥᔪᑦ ᐆᒪᔪᓗᑭᑦᑕᐅᖏᑦᑐᒥᒃ ᐆᑦᑑᑎᒋᑦᓱᒋᒍ; ᑐᒃᑐᑐᖃᒻᒪᑦ, ᐅᑦᔪᑐᖃᒻᒪᑦ, ᑐᔪᖃᑦᑕᐅᑎᕙᓚᐅᕐᑐᑦ. ᑐᒃᑐᑐᖃᒻᒪᑦ ᑐᒃᑐᕕᓂᖅ ᐊᒡᒍᑕᐅᓕᕐᒪᑦ ᓄᓇᓕᐅᑉ ᐃᓄᓕᒫᖏᑦ ᓂᕿᓯᑎᑕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ. ᐃᓪᓘᑉ ᐃᓗᐊᓃᑦᑐᑦ ᒥᑭᔫᒐᓗᐊᕐᒪᑕ ᓂᕿᓯᑎᑕᐅᑦᓱᑎᒃ.

    Tout le camp se partageait la nourriture équitablement lorsqu’un chasseur lui en donnait. Les gens étaient dispersés et on leur donnait leur part même si la prise était inhabituelle, comme la prise de caribous et de phoques barbus, qu’ils s’envoyaient les uns les autres.  Lorsque quelqu’un attrapait un caribou, ce dernier était dépecé et tout le monde venant en chercher. Même si une famille n’était pas nombreuse, elle obtenait sa part.
  • ᓂᖏᕐᑎᓯᔪᕕᓂᐅᒐᓗᐊᒥᒃ, ᐊᓯᐊᓂᒃ ᓇᑦᓯᑐᖃᓕᕐᒪᑦ ᓂᖏᕐᑎᑕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ “ᐱᒌᑫᓐᓇᑐᓪᓕᐅᓇ.”-ᓚᒐᑎᒃ. ᕿᓚᓗᒐᖅ ᐊᕕᑦᑕᐅᓴᖕᖏᔦᒻᒥᔪᖅ ᓱᑯᑦᓯᓕᒫᕌᐱᖓ, ᐃᕙᓗᓕᒫᒐᓴᖓ. ᓇᑦᓯᑐᕕᓂᐅᒐᓗᐊᕋᒥᓗ ᓂᖏᕐᑎᓯᔪᕕᓂᐅᒐᓗᐊᕋᒥᒃ ᐊᓯᐊᓂᒃ    ᓇᑦᓯᑐᖃᓕᕐᒥᒪᑦ ᓂᖏᓯᓲᕕᓂᐅᒻᒥᔪᑦ. ᓂᖀᑦ ᐅᐊᑎᒦᑉᐸᓚᐅᕐᑐᑦ, ᐁᔭᑦᓭᑦ ᐊᒡᒍᑕᐅᒌᕐᓯᒪᔪᑦ   ᐊᕕᖃᑎᒌᑦᓯᐊᓱᑎᒃ.

    Lorsque quelqu’un avait déjà eu sa part, mais qu’un chasseur attrapait un phoque, on partageait sans penser… « Eux, ils ont déjà eu leur part. » Le béluga au complet était aussi partagé, même les tendons. Lorsque quelqu’un attrapait un phoque, il était partagé, et lorsque quelqu’un d’autre attrapait un autre phoque, ils recevaient aussi leur part. La viande était prête à être partagée.
  • ᕿᑐᕐᙰᑦ ᓂᖓᖃᑦᑕᖁᔭᐅᕙᓚᐅᑦᔭᖏᓐᓂᕗᑦ ᓂᕿᒥᒃ ᓂᖓᕈᑎᖃᖁᔭᐅᕙᓚᐅᑦᔭᖏᑦᑐᑦ ᓂᖓᕈᑎᖃᕐᑐᖅ ᐊᕐᓵᑕᐅᑦᓯᐊᑐᐃᓐᓇᐸᑦᓱᓂ, ᓱᒥᔪᕐᓗ ᒥᓂᑕᐅᑐᐃᓐᓇᓱᓂ.

    Les enfants n’avaient pas le droit de se choquer à propos de la nourriture. S’ils se fâchaient, la nourriture leur était enlevée; et toute personne qui se fâchait parce qu’elle pensait ne pas en avoir assez reçu n’avait pas droit à une portion.
  • ᖁᒥᐅᕙᑦᓱᑎᒃ, ᐸᔪᑦᓱᑎᓪᓗ, ᐊᕕᑦᓱᑎᓪᓗ ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐱᑕᖃᓪᓚᕆᓕᕐᑐᑐᐃᓐᓀᑦ, ᐊᕕᑦᓯᐊᓱᑎᒃ ᐱᑎᑦᓯᖏᑦᑐᐊᓘᕐᖂᐸᓐᓂᖏᑦᑐᖅ.

    Ils allaient partager, surtout quand ils avaient plus que ce dont ils avaient besoin. Ils partageaient sans oublier personne.
  • ᓂᕆᓕᕈᑦᑕ ᐳᓛᕐᑕᐅᒍᑦᑕ ᓂᕆᑎᑦᓯᒋᐊᖃᒻᒥᔪᒍᑦ. ᑲᒃᑲᓛᒍᑉᐸᑦ (ᐱᐊᕋᐅᑉᐸᑦ)    ᓂᕆᖃᑎᒋᑦᓯᐊᓗᒍ, ᑕᑯᓐᓀᓇᕐᑎᒍᓐᓀᓗᒍ, ᐅᖁᒻᒥᓗᐊᑐᐃᓐᓇᐅᒐᓗᐊᕐᐸᑦ ᐁᑦᑐᓗᒍ. ᓂᕆᔪᕕᓂᐅᒍᓂ ᐅᓐᓂᓯᐅᕆᐊᓕᒃ ᐃᑎᑐᐊᕈᓂ. ᓂᕿ ᒥᑭᔪᐊᐱᐅᒐᓗᐊᕈᓂ   ᐱᕙᓪᓕᖁᑕᐅᒍᓐᓇᑐᖅ, ᑕᒪᓐᓇ ᓱᓕᔪᖅ!

    Si des visiteurs se présentaient pendant le repas, nous leur donnions à manger. Si c’était une enfant, nous mangions avec lui et ne le laissions pas seulement regarder, même si ce n’était qu’une bouchée. Ils devaient indiquer s’ils avaient déjà mangé lorsqu’ils entraient. Même s’il n’y a qu’un petit morceau de nourriture, c’est bénéfique et cela, c’est la vérité!
  • ᐃᓚᒌᑦ ᓂᕆᑐᐊᕈᑎᒃ ᐳᓛᕐᑕᐅᓗᑎᒃ, ᓂᕆᑎᓪᓗᒋᓪᓘᓃᑦ ᐃᑎᕐᑕᐅᑐᐊᕈᑎᒃ ᐃᓄᒻᒪᕆᒧᑦ, ᑲᒃᑲᓛᒧᓪᓘᓃᑦ ᑕᑯᓐᓀᓇᕐᑎᓯᖁᔭᖁᐅᕙᓚᐅᑦᔭᖏᑦᑐᑦ, ᓂᕿ ᐊᒥᒐᕋᓗᐊᕐᐸᑦ. ᓂᕆᖕᖏᑲᓗᐊᕈᑎᓪᓗ, ᓂᕿᖃᑐᐊᕈᑎᒃ ᑯᒻᒪᓲᑎᒋᒋᐊᖃᕐᓱᒍ ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐃᓅᖃᑎᒥᓄᑦ.    ᐁᑦᑑᑎᒋᒐᓗᐊᕈᓂᐅᒃ ᐃᓱᒫᓗᒋᑦᔭᕈᓐᓀᓗᒍ.

    Si une famille était en train de manger et qu’elle avait des visiteurs, ou si un Aîné ou un enfant entrait, elle ne devait pas les laisser simplement regarder, même s’il n’y avait pas beaucoup de nourriture. Et même si la famille ne mangeait pas, mais qu’elle avait de la nourriture, elle devait toujours en offrir aux visiteurs. Il est important de donner sans hésiter.
  • ᖃᓪᓗᓂᐊᕕᐅᓂᐅᓕᕐᒪᑕᓗ (ᖃᓪᓗᓂᑦᔨᐊᕕᓂᐅᓕᕐᒪᑕᓗ) ᑌᒃᑯᐊ ᖃᓪᓗᓂᑦᔨᐊᖃᖕᖏᑐᑦ   (ᖃᓪᓗᓂᑦᔨᐊᔨᖃᖕᖏᑐᑦ) ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐊᕕᖃᑕᐅᑦᓱᑎᒃ. ᑌᑦᓱᒪᓂ ᖃᔫᕐᑌᑦ (ᖃᓪᓗᑏᑦ)     ᐊᖏᔪᖕᖑᐊᕌᓘᕙᓚᐅᕐᒪᑕ ᓴᓇᐅᒐᕐᑕᓯᔭᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ (ᓂᕿᑦᓴᔭᕐᑕᓯᔭᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ), ᑏᑕᕇᓂᒃ, ᑐᐹᑎᑕᕇᓂᒃ. ᐊᓱᐃᓛ ᐊᖏᓂᕐᐹᖑᓂᐊᓕᕐᒪᑦ ᐃᑎᕐᑕᖅ, ᑕᒪᐅᙰᓐᓈᓂᐅᔭᖕᖏᑐᖅ!

    À une autre époque, les gens échangeaient leurs prises au poste de traite; il y avait toutefois des gens qui n’avaient rien à échanger, mais on leur donnait quand même leur part. Dans ce temps-là, les tasses étaient grandes et servaient à partager la farine. Les portions de farine partagées étaient importantes, mais rien n’était perdu.
  • ᐸᓂᕐᑎᑕᒥᒃ ᐊᕕᑦᓯᐊᓱᑕ. ᐳᓛᕐᑕᐅᑐᐊᕋᑦᑕᓗ ᒥᑭᓂᕐᓴᑐᕐᓱᑕ ᐱᔭᐅᓯᒻᒥᒪᑦ ᐃᓚᖓ ᐳᓛᕐᑐᒧᑦ.

    Nous partagions la bannick. Si nous avions des visiteurs, nous en prenions un plus petit morceau parce que nous en donnions aux visiteurs.
  • ᐱᑕᖃᖕᖏᑐᓂᒃ ᐸᔪᑦᑎᐅᕙᓚᐅᕐᒥᔪᑦ ᑲᒃᑲᓛᑦ (ᐱᐊᕃᑦ) ᓂᕿᒥᒃ. ᑌᒪᖕᖓᑦ ᐸᔪᒋᐊᒥᒃ   ᐊᓕᐊᑦᓱᑎᒃ. ᐃᕿᐊᓱᑦᑐᖅ (ᑎᓇᑦᑐᖅ) ᐊᓕᖏᑎᑕᐅᒋᐊᑦᓴᐅᑎᒋᕙᓚᐅᕐᑐᖅ.

    Les enfants étaient chargés d’apporter les portions à ceux qui manquaient de nourriture. Ils étaient toujours heureux d’apporter la nourriture. S’ils refusaient, ils étaient punis.

Remerciements

Nous souhaitons remercier les personnes suivantes de nous avoir parlé des méthodes traditionnelles inuites.

Johnny Manumi Inukpuk
Adamie Niviaxie
Taamusi Qumaq
Eva Ilimasaut
Eyetsiak Simigak
Thomassie Kudluk

Mosesie POV
Mitiarjuk Nappaluk
Raiki Najummi Augiak
Annie Alaku 
Pasha Simigak
Qipitaq Arnaituk

Issak Uumajualuk
Naalak Nappaaluk
Annie Grey
Velesie Annahatak
Kusugaliniq Ilimasaut
Tivi Eetok

Nous voulons aussi remercier les organismes suivants qui nous ont fourni des photographies et qui les ont classées : l’Institut Culturel Avataq, le service de développement des programmes de Kativik Ilisarniliriniq.

Enfin, nous souhaitons remercier les Aînés qui ont accepté de répondre aux questions d’Avataq.

Nous voulons aussi remercier les personnes suivantes qui ont compilé et organisé les données.

Betsy Annahatak
Mary Elijassiapik

Sala Padlayat

Jessica Arngaq

Avataq

ᐊᕙᑕᖅ

Bouée en peau de phoque

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